La salle de bain est l’occasion d’aborder les substances chimiques présentes dans les produits que nous utilisons pour nous et pour bébé et les limiter au mieux. En prenant soin de notre santé, on va prendre soin de notre environnement, et inversement. Les soins ou le bain sont aussi l’occasion de bons moments partagés avec bébé. Cet espace nous donne conseils et astuces pour en profiter pleinement avec bébé en toute sécurité.
Cliquez sur une zone pour découvrir des conseils et des points de vigilance.
On les choisit avec une liste d’ingrédients courte, et sans parfum.
On peut en savoir plus sur les perturbateurs endocriniens en lisant la page "Limiter les perturbateurs endocriniens, c'est possible".
Pour en savoir plus sur les allergènes : "Connaître les allergènes pour mieux les éviter".
En savoir plus sur les labels environnementaux sur le site de l’ADEME.
On peut aussi utiliser un savon à base végétale.
Ventiler permet de renouveler l'air du logement en continu afin d’évacuer les polluants (venant des produits d’hygiène, cosmétiques ou ménagers) et l’excès d’humidité (dû à la toilette).
Un professionnel qualifié doit effectuer son entretien tous les trois ans environ afin d’assurer son bon fonctionnement. C’est l’occupant du logement qui doit s’en charger (le locataire ou le propriétaire occupant).
Trop de fatigue ou d’énervement chez l’un ou l’autre peut transformer ce moment en corvée. Or, le bain est un moment de découverte de nouvelles sensations pour bébé. On accompagne ces découvertes par des paroles, regards, gestes doux et attentifs, afin que bébé soit confiant.
Un bain tous les deux trois jours suffit en matière d’hygiène, donc on n’hésite pas à faire sauter le bain si on pense que ça va être plutôt la crise qu’un bon moment passé ensemble.
Et ce, même si on échange avec bébé. Cela évite que bébé prenne froid.
Pour en savoir plus sur les petits soins quotidiens et la toilette de bébé, on peut consulter la page « S’occuper de l’hygiène corporelle de bébé ».
Lors du bain, il doit être sous la surveillance constante d’un adulte responsable. Les sièges, transats ou supports de bain, ne doivent pas être considérés comme des accessoires protégeant de la noyade.
Si on doit s’absenter quelques minutes dans une autre pièce alors qu’on baigne bébé, on le sort de l’eau, on l’enroule dans une serviette et on le pose dans son lit sur le dos ou au sol dans un lieu sécurisé.
Pour cela on peut utiliser un thermomètre de bain. La température idéale est à 37°C, ce qui permet à bébé de maintenir la température de son corps. On évite ainsi des brûlures qui peuvent être graves chez un bébé.
On peut obtenir d’autres conseils sur la page « Se préserver des accidents de la vie courante avec des gestes simples ».
Par exemple un savon, de préférence avec une base végétale, sans parfum, sans antibactérien, sans huiles essentielles.
Sa peau est plus fragile et plus perméable.
on peut consulter la page « Connaitre les substances chimiques de notre quotidien ».
Le jeu augmente le plaisir et la détente de bébé. Il découvre les sensations que procure l’eau sur son corps. Ces sensations sont enregistrées par son cerveau et l’aident à prendre conscience des différentes parties de son corps.
Pour jouer avec lui, on le berce doucement dans l’eau, on fait tomber quelques gouttes sur son ventre en observant sa réaction. On caresse son corps avec le gant mouillé. On lui parle, on chante ou on sourit pour solliciter l’ouïe et la vue.
Plus tard, on choisira des jouets de bains ou tout simplement des objets de la maison (gobelet, tasse, …) non cassable.
Pour en savoir plus sur les jeux possibles avec bébé, on peut consulter la page « Renforcer la relation avec bébé par des activités ».
Par exemple, depuis 1999, certains phtalates (DINP, DEHP, DBP, DIDP, DNOP, BBP) sont interdits dans les jouets et articles de puériculture commercialisés en Europe. Il faut donc être vigilant aux anciens jouets.
Il est accessible en cliquant ici.
Quand on est enceinte et que l’on se fait infecter par le virus Zika, les conséquences sur le fœtus peuvent être lourdes. Il y a un risque de malformation pour le bébé.
En cas de séjour inévitable (résident ou voyageur) en zone infectée, le médecin donnera les conseils pour bien se protéger des piqûres de moustiques. Il pourra proposer les modes de prévention les plus appropriés que ce soit pour la future mère ou le futur père. Il pourra notamment vérifier et conseiller les produits répulsifs efficaces et utilisables par la femme enceinte.
En plus de l’utilisation de répulsif adapté, la protection passe par le port de vêtements couvrants, l’utilisation de moustiquaires, de diffuseurs électriques, la destruction des gîtes larvaires, etc.
On peut lire la page « Prendre certaines précautions pour les voyages » pour avoir d'autres conseils.
Pour bébé, aucun répulsif cutané ne doit être utilisé avant l’âge de 6 mois. Si on allaite, on utilise ces répulsifs, après avis médical, en respectant les précautions d’usage et en veillant à ne pas appliquer le produit au niveau des seins. On se lave bien les mains avant la mise au sein.
Pour avoir plus d'infos sur les substances chimiques, consulter la page dédiée.
Elles sont par ailleurs déconseillées pour les femmes enceintes ou allaitantes.
on peut consulter le site Mpedia.
Comme le phénoxyéthanol ou des perturbateurs endocriniens.
On se couvre pour limiter les risques liés au soleil et on évite de s’exposer au soleil entre 12h et 16h.
Chez les femmes enceintes, ce peut être le classique « masque de grossesse » ou une ligne brune sur le ventre.
On profite des heures aux températures les plus fraiches pour sortir et on n’expose jamais bébé au soleil.
En savoir plus sur le site www.prevention-soleil.fr.
on peut consulter la page « Connaitre les allergènes pour mieux les éviter ».
On ne met pas de parfum à bébé : il sent bon naturellement.
Pour en savoir plus, consulter la page « Connaître les allergènes pour mieux les éviter ».
Plus d'infos sur la page consacrée aux perturbateurs endocriniens
on peut consulter le site de l’ANSES.
On évite juste les produits de coloration qui contiennent des substances chimiques.
Surtout quand il faut faire face aux transformations physiques et aux petits maux de la grossesse.
C’est vrai pour tous les médicaments, même ceux que l’on a l’habitude de prendre, ceux en vente libre ou à base de plante.
Beaucoup de médicaments que l’on avale, ou même des pommades, passent dans notre sang puis dans celui de bébé via le placenta ou le lait. Parfois, ces médicaments sont utiles et même indispensables, mais seul un professionnel peut nous l’indiquer.
Quand on suit un traitement de longue durée pour une maladie particulière, il faut parler de notre désir de grossesse au médecin spécialiste de sa maladie. Il gérera au mieux le traitement pendant la grossesse.
Il pourra cerner le problème, voir s’il y a un risque pour le bébé ou un danger pour la mère. Il jugera de l’intérêt de prendre un traitement médicamenteux. Il pourra aussi indiquer des règles d’hygiène ou de diététique qui permettent de soulager certains symptômes.
En savoir plus en lisant la page « Demander conseil à un pro de santé pour les médicaments ».
On peut les trouver en grande distribution.
Plus d'infos sur les allergènes en consultant la page dédiée.
Si on fabrique ses produits cosmétiques à la maison, on n’ajoute pas d’huiles essentielles.
Les vergetures sont dues à la perte d’élasticité de la peau. Il n’y a pas besoin de crème spéciale anti-vergeture.
Cela favorise les liens et la communication dans le couple.
Pour aller plus loin sur ce sujet, on peut lire la page « Repenser son couple au quotidien ».
En cas de doute sur la gravité de la blessure, il ne faut pas hésiter à appeler le Samu pour bénéficier de conseils ou d’une prise en charge.
On peut aussi utiliser :
Le site ameli.fr donne les bons réflexes à avoir en cas d’accident.
On n’hésite pas à y réfléchir en couple.
Beaucoup de couples ne disposent pas d'une méthode adaptée à leur nouvelle situation. Choisir sa contraception est important pour éviter une grossesse non désirée après un accouchement.
Plus d’informations sur la contraception sur le site www.choisirsacontraception.fr.
on peut lire la page « Eviter une exposition au plomb ».
Plus d'infos sur les perturbateurs endocriniens en consultant la page dédiée.
C’est indispensable en cas d’anesthésie.
Le transat permet d’assurer une parfaite sécurité à bébé et nous laisse les mains libre tout en gardant un œil attentionné sur lui.
Bébé adore ces interactions. On pourra ainsi lui accorder notre attention tout en faisant autre chose.
Pour en savoir plus sur les interactions avec bébé, consulter la sous-rubrique.
Le transat doit être posé au sol pour éviter tout risque de chute de moyenne hauteur. Et bébé doit être maintenu dans son transat. Parfois, on doit aller chercher quelque chose ou gérer une urgence. Le transat permet de mettre bébé en sécurité.
Les conséquences des accidents de la vie courante peuvent être plus graves pendant cette période. Il faut donc être particulièrement attentif.
Si l’air n’est pas suffisamment renouvelé pour évacuer l’humidité, les moisissures se développent sur les murs.
Si le séchage du linge est impossible en extérieur, on essore au maximum le linge, on le fait sécher dans la pièce la moins humide, et on aère autant que possible.
Un geste à faire été comme hiver, en ouvrant en grand sa fenêtre au moins 10 minutes par jour.
Lire la page « Adoptez les bons gestes pour améliorer l’air intérieur » pour en savoir plus.
Il ne faut pas hésiter à y avoir recours. La femme enceinte peut bénéficier de cet examen de prévention bucco-dentaire jusqu'au 12e jour après l'accouchement.
Pour en savoir plus sur cette prise en charge, on peut consulter le site ameli.fr.
on peut consulter la page « Limiter les perturbateurs endocriniens, c’est possible ».
Cette infection peut être grave pour le fœtus.
On se protège ainsi de nombreux virus et microbes.